LE CYCLISTE N° 2 – Robert Brasillach – 14 novembre 1936
samedi, 15 août 2020
par R. B.
Vous me demandez, ma chère Angèle, s'il convient d'emmener vos enfants, aux prochaines fêtes, voir quelqu'une de ces représentations classiques dont la province dit grand bien, et vous désirez en même temps savoir si Paris est véritablement conquis par le nouveau führer du Théâtre-Français, M. Edouard Bourdet.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
CHARLES MAURRAS DEVANT LE MONDE NOUVEAU – Robert Brasillach – 7 novembre 1936
samedi, 15 août 2020
par R. B.
Ce n'est pas au nom des fidèles exacts de Charles Maurras qu'il convient de parler aujourd'hui. Je veux dire que ce n'est pas au nom de ceux qui suivent ses doctrines, et le reconnaissent pour maître intégral de leur pensée.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
SOUS LE RÉGNE DE L’INTELLIGENTSIA SERVICE – Robert Brasillach – 31 octobre 1936
samedi, 15 août 2020
par R. B.
C'est au théâtre, l'autre soir, ma chère Angèle, que j'ai le mieux compris certaine étonnante équivoque qui domine notre temps, et à laquelle, si vous le voulez bien, nous donnerons le nom très grave d'équivoque de la liberté.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
L’ETRANGER AIME-T-IL LA FRANCE ? – Robert Brasillach – 17 octobre 1936
samedi, 15 août 2020
par R. B.
Je me trouvais, il n'y a pas longtemps, ma chère Angèle, dans une maison fréquentée par des patriotes. Vous êtes une belle jacobine, et je suis sûr que vous donnerez à ce mot le sens qui convient
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
L’ESPRIT DE L’ESCALIER – Robert Brasillach – 10 octobre 1936
samedi, 15 août 2020
par R. B.
Il y a des gens, ma chère Angèle, qui doutent encore que la révolution soit commencée. Ils attendent peut-être, pour en être sûrs, que la guillotine soit dressée sur les places publiques, et qu'on affiche dans les rues le manifeste du duc de Brunswick.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
NOS MARINS DE CRONSTADT – Robert Brasillach – 26 septembre 1936
samedi, 09 novembre 2019
par R. B.
Oui, ma chère Angèle, les théâtres de Paris commencent à ouvrir leurs portes, et les cinémas en font autant. Mais, ces jours-ci, où la politique a tant d’importance, comment ne pas emmener ses préoccupations avec soi, même dans les salles de spectacle ? Aussi ne vous étonnerez-vous pas si le plus beau film de cette
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
Étiqueté sous :
Cronstadt
SAVEZ-VOUS PLANTER LES CHOUX ? – Robert Brasillach – 3 octobre 1936
samedi, 09 novembre 2019
par R. B.
Vous êtes une bonne ménagère, ma chère Angèle, et vos opinions résolument démocratiques ne vous empêchent pas de vous inquiéter du coût de la vie. Je ne suis même pas sûr que monsieur votre mari ait souscrit à ce fameux emprunt clos très brusquement deux jours avant la dévaluation, et moins sûr encore que vous
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
TENUE DE CAMPAGNE – Robert Brasillach – 19 septembre 1936
samedi, 09 novembre 2019
par R. B.
Voici l'automne, ma chère Angèle, et je décèle dans vos lettres un juste et féminin souci des modes de cet hiver. Certes, vous n'attendez pas de moi que je vous indique comment vous devrez vous habiller pour irriter vos amies et tenter le coeur des hommes.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
POUR UNE FÊTE DU TRAVAIL – Robert Brasillach – 12 septembre 1936
vendredi, 04 octobre 2019
par R. B.
Non, ma chère Angèle, je n'étais pas à Garches, où, pour amadouer les catholiques (les curés avec nous !), l'Humanité organisa de si curieuses processions, où des prêtres à faux nez de carnaval bénissaient la foule avec un balai de water-closet.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale
COLONIES DE VACANCES – Robert Brasillach – 5 septembre 1936
vendredi, 04 octobre 2019
par R. B.
Vous n'ignorez pas, ma chère Angèle, que beaucoup d'enfants, cette année, un peu plus qu'autrefois je pense, vont rentrer à Paris ou dans les grandes villes après avoir passé trois semaines ou un mois dans les colonies de vacances. Vous m'en voyez ravi, et ce n'est certes pas moi qui blâmerai les communistes d'apporter tous leurs soins à cette cure de santé.
- Publié dans Articles et essais, Je suis partout, Lettre à une provinciale