Ce qui est perdu – Robert Brasillach – Combat, février 1936
jeudi, 03 octobre 2019
par R. B.
Si l’on regarde un rayon de bibliothèque, même peu garni, où sont des œuvres classiques, il est impossible de ne pas faire une réflexion. Voici, côte à côte, et en désordre, Rabelais, « Don Quichotte », le théâtre de Racine, celui de Corneille, de Molière, voici Montaigne, voici les Contes de Voltaire, un peu plus loin, voici Diderot et voici Balzac, voici des poèmes. Sans parler de Pascal et de Bossuet.
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